Grandeur, décadence ... Et puis quoi encore !!!

Voilà ! Je me suis enfin décidé, lui m’a enfin permis d’être fixé malgré cet éternel manque de réponses, tant pis, plus rien à attendre, à espérer, et je ne peux pour autant m’arrêter de vivre. Adieu mon garde fou je décide de tourner cette page, lassé de la relire, lassé d’espérer revivre ces quelques lignes sans pour autant me résoudre à la brûler…

On pourrait parfois penser qu’il n’aurai jamais fallu rencontrer tel ou tel personne. Mais au final, je tourne la page changé, évolué, à la quasi-antithèse de ce que j’étais avant de le rencontrer, évolution tant dans l’éthique que l’esthétique, dans ma manière d’être en étant plus « moi », à m’assumer comme je suis, au jour le jour et en ne me préoccupant pas de l’avis de qui que ce soit. Ce qui peut être inquiètent lorsque l’on décide enfin à tourner une page c’est cet éternel « angoisse de la page blanche », ne pas savoir ce qui peut nous arriver, et s’avancer sans être attaché par un passé désormais derrière nous.

Quelqu’un d’autre ?  Je ne sais pas, je laisserai cela venir sans le forcer, sans me presser…

Je tourne désormais la page pour cette fois-ci commencer un nouveau chapitre, puisque j’en sort transformé.

Alors…

Qu’il en soit ainsi.

Samedi suite à un après midi plutôt agréable en compagnie de la classe au palais de la découverte, puis au musée d'Orsay. J'ai quitté le groupe pour passer un week end à Paris le rêve !

Et puis ayant du temps à tuer je me suis balader sur les bord de Seine quel bonheur, enfin c'est une façon de parler, du Bach dans les oreilles je me suis diriger tranquillement et néanmoins mélancolique vers le pont des arts et je me suis accoudé à la barrière et suis resté là à laissé passé le temps...
La Seine sous les pieds, l'île de la cité en face et tant d'autre chose, cette absence qui me pèse, il en faut peu parfois pour tomber dans ses pensés à en oublier le vent glacial qui nous fouette le visage ...

Bach me fait tout ressortir, et sans en prendre immédiatement conscience mon cœur se lâche comme il ne l’avait fait depuis longtemps, abstient toi et supporte tel est mon principe actuel, et c’est dans ce principe que je m’étais promis de ne pas fléchir, mais comment ne pas réagir ainsi devant tant de beauté, en plus de cette tête qui est pleine à craquer, comment ai-je pu tenir toute cette semaine ? Bac blanc, du stresse inutile, lui qui fait le mort sans que je sache pourquoi…
Malgré cette offrande que je fait à ce précieux fleuve, je ne fait en aucun cas attention aux gens qui passent derrière moi, enfermé dans ma bulle je ne ressent plus rien, le regard au loin je me met à réfléchir, cette musique inspire et fait tellement mal à la fois, j’ai parfois du mal à me comprendre, sur le pont des arts, la nuit tombante et cette musique qui fait tout resurgir.

Peu à peu je perds espoir en lui, plus de nouvelles l’aurai-je fait fuir ?  C’est vraie après tout même si l’on ne peut trouver le temps de voir quelqu’un il est impossible de nos jours de prétendre ne pas pouvoir donner de nouvelles non ? Mail, Chat, SMS, téléphone, courrier…
Pourquoi alors faire le mort ? Je ne comprend pas pourquoi cela me travaille autant, je me suis surpris a pensé à autre chose, à cette éventualité encore lointaine d’avoir quelqu’un d’autre, mais un problème est venu avec cette éventualité, oublier quelqu’un dans les bras d’un autre n’est pas une bonne solution, aussi je me suis aperçue dernièrement m’être forgé un idéal et n’attirant en général pas grand chose de bon sur ce plan je perds espoir de ne plus me sentire terriblement seul, moi l’éternel célibataire !
Il reste quelque chose de pire que quelqu’un dise tout simplement non à ce que l’on espère qui au final pourrai être libérateur, pire qu’un peut être ou un « pas pour le moment » qui me ferai attendre, c’est d’être et de rester en suspend, ne pas savoir, attendre sans plus trop d’espoir, Je finirai bien par m’en sortir …

Juste des nouvelles…

Spart.

Ne vous est il jamais arrivé, vous baladant je ne sais où vous replongez dans je ne sais quelle pensée, souvenir ou simple idée qui nous travaille, nous rend ... nostalgique, ou ressentir ce terrible sentiment de regret, celui qui est attaché à une forte sensation de quelque chose de non accompli, qui n'est pas, en quelque sorte, fini car à peine commencé?

Oui, non ?
Peut importe l'article, cette article n'a ... pas de lien,directe, avec cela.

Qui, ayant un minimum de réfléxion, ne s'est jamais retrouvé perdu, ou érrant sur un chemin, au sens psychique du terme bien sûr, se demandant où il en est, qui il est et ce qu'il doit faire ? Ne sachant plus tout à fait qui il est ou ce qu'il veut ... Il nous arrive tous, au moins une fois dans sa vie, de se retrouver dans une tel situation, ce chemin se retrouve alors escarpé, tortueux, dans tous les cas, en rien, facile. Mais cette difficultée est, à mon avis,la meilleur chose qui puisse y avoir, et plus cette question, ce problème, devient pénible, plus alors le parcours pour en arrivé à la fin sera profitable ...
D'autres solutions? Oui bien sûr ... mais resté sur place ou faire demi-tour serai d'une telle facilitée, et la facilitée n'apporte vraiment pas grand chose, au contraire. En fait pour que l'image soit plus proche de la réalitée, il faudrai voir ce chemin non pas droit, mais plein de virage, de "paysages" différents, dans tout les cas rien de tranquille, ou tout est beau, etc... Chaque virage représenterai, tout naturellement, un changement plus ou moins radicale dans sa vie, bouleversant souvent nos habitude, notre style de vie voir même notre vision du monde beaucoup plus qu'on le crois.
Dans ces cas là, éviter un sujet, ne pas y pensé, faire demi-tour ou attendre au pied du mur ne mènera pas très loin, un esprit à besoin d'avancer, de changer, je dirai même d'évoluer. A ces moment, dans ces changements, le regard extèrieur ne doit que peu compter, notre vie n'est pas celle des autres non ? Et ce qui compte réellement c'est de trouver son équilibre, et ceci ne se fait pas en fonction de qui que ce soit, simplement en fonction de soit...

Spart.

Comme toutes choses a une certaine importance je me devais tout naturellement d'honorer, ou non, ce passage à l'année 2006, la soirée d'hier, et pourquoi pas une petit résumé de 2005 ( je le promet..presque).

Le temps passe et il semble parfois difficile de s'en rendre compte, une nouvelle année signifie, un nouvel anniversaire qui arrive et parfois, nous l'espèrons beaucoup de choses, bonne,de préférence, ou mauvaise d'ailleurs...
Le temps peut être de revenir sur certains évènements, d'en laissé passer d'autre, pour pouvoir repartir ou continuer ce qui a été fait jusqu'à présent. Enfin bref ...
Une chose reste sûr, et même certaine, le passage à cette nouvelle année s'est fait comme il se devait, être pour ne pas dire dans une certaines excellence! Et quel autre univers que celui d'Alice au pays des merveilles pouvait le représenté? le temps qui passe, s'écoule, nous glisse entre les doigts quelle formule serai la mieux adaptée ?
Et puis après tout quel importance ?! La soirée fut

Parfaite et a permis d'oublier, pour un temps, que celui-ci passait...
Il n'en reste pas moins que c'est aussi l'occasion de faire un bref retour sur l'année 2005 qui fut ... en un mot ... Chaotique.

Je m'explique, la soirée du 31 commencée dans une fête et terminée dans une autre, 2005 ne commençai déja pas comme je l'avais rêver mais bon toute chose était, à première vu, rattrapable.
L'hiver loin d'être agréable, les cours qui ne se passaient vraiment pas comme je l'aurai souhaité, les grèves, et un plan sentimental plus que lamentable... une année parfaite dirons-nous.
mais bon, l'année scolaire terminée annonçait l'arrivée des épreuves anticipés du bac, le passage en terminal, et le reste ... Quel catastrophe!
Enfin bon une plus que charmante personne est réapparue, les vacances ne s'annonçaient pas trop mal donc pour continuer, et pourquoi pas finir, cette année 2005. le mois de juillet... tout simplement parfait, le mois d'août... Oups un saut en septembre...
Reprise des cours, le chaos total dans ma tête et donc je me réfugie dans ce qui pouvait s'annoncer comme stable, les cours. Ce qui d'ailleurs ne va pas spécialement mal malgré beaucoup de stress pour pas grand chose. Et en dehors de ça ... on ne va pas dire que ça aille mal ...
Un esprit carrément en bordel, beaucoup de changements, beaucoup de question et peu de réponse. Un renferment sur soit, une superficialité accrue, enfin en ce qui concerne le paraître...

L'être quant à lui reste patient, attend encore et encore et ne faiblie encore que peu! mais cette année qui vient de se terminer annonce, j'en suis certain, une année 2006 qui sera pleine de changements, révélations, nouveau style de vie, encore beaucoup de question!
En résumé une année qui ne s'annonce en aucun cas ennuyeuse, et tant mieux!

Spart. 

ps: Merci à ce charmant jeune homme qui fut le 1er à m'avoir souhaité une bonne année!
ps2: Même ci je ne l'apréciait pas, son attente fut trop longue et soulagée sont désormais ces souffrances. Paix à l'âme d'Henri mort ce matin du 1er janvier 2006 des suites d'une trop longue souffrance.

Noël ça y es!! Tant d'excitation, tant d'attente avant aujourd'hui des heurs de préparation, décoration, réveillon, cadeaux que du bonheur!

En fait si il y a bien une période que j'aime c'est tout ce qui précède ce jour, l'atmosphère ambiante, une bonne humeur qui se contamine, en tout cas d'une manière général, et voir tout ce qui nous travaille envolé pour un temps.
J'ai toujours aimé la fête de Noël, qui pour moi n'est en rien et ne sera jamais une fête religieuse, mais plutôt une "simple" fête de famille, et puis aussi les cadeaux quelle importance ?
Je me fiche d'en recevoir ou pas tant que je peux en offrir aux moins à quelques personne et puis comme il est facile de le voir ce n'est pas ce qui compte le plus à mes yeux, l'important est une soirée réussite, que tout soit bien décoré, un bon repas, enfin que tout se passe bien ...

Joyeux Noël !!

N'ayant pas peur de me répèter, car après tout même si le sujet peut paraître semblable, l'idée qui en résulte en reste différente...
Après tout ce qui compte c'est l'idée et sont point de vue non ?

Les couloirs du lycée, parquet, vieilles fenêtres, vieux radiateur qu'est ce que j'aime ça... se poser tranquillement dans un coin pour bosser, attendre, ou juste comme ça
En réalité il est parfois même agréable d'être seul même si ce n'est pas toujours simple de se trouver un coin tranquille dans un lycée de 3000 élèves, encore qu'à certains moments...

Combien de fois me suis-je poser dans un coin sans chercher à être avec quelqu'un et, combien de fois n'ai je fait que prendre mon bloc note pour simplement écrire ce que je voulais au lieu de travailler mes maths, mais en même temps il est parfois tellement agréable de juste s'assoire et sans forcément aucun intérêt regarder le dessin du soleil au travers des fenêtres.
Tout cela pour ne pas dire grand chose en verité, je ressent de plus en plus le besoin, ou l'envie d'être un peu seul de temps en temps ce que j'arrive, par chance, à faire...
En moin d'un ans je suis passé du garçons connaissant un large majorité des personne de se lycée, passant mon temps à discuter, dire bonjours, me bouger pour faire avancer ce lycée, à tant de mondanitée en fin de compte, comme je me plaisait parfois à le dire, pour me retrouver à avoir très largement réduit mon cercle de connaissance, évitant parfois beaucoup de personne pas forcément parce que je ne les aimes pas, celles-ci sont d'ailleur assez rare, mais plutôt pour voir qui restera après ça...
Envie d'être un peu plus seul, marre de tout ce monde, envie de changer de vie, bientôt.

Je commence à m'en rendre réellement compte, mes besoins ont changés, mes envies ont changés et mon cadre de vie, mon rythme de vie ne sont plus tellement adapté à cela, je l'ai déjà fait autant recommancer ce n'est en réalité pas si difficile il suffit de réellement le vouloir, et je le veux...
Envie d'une vie d'étudiant, envie d'une vie parisienne, envie d'une vie mêlée entre moi et Spart. et non plus que Spart prenne le dessus, et agisse en fonction des autres et non de moi même ...

Un couloir vide, pourquoi pas mais c'est simplement pour, au mieux, exprimer une idée, après ce n'est pas forcément à moi de tout écrire...

Spart.

Nous sommes dans une cuisine, lui assis sur le rebord d'un meuble, moi dans ses bras et dos à lui et l'on discute, qu'est ce que je me sens bien... Et puis viens le sujet du "nous", et moi, calme, je lui demande si il lui arrivait de repenser au "nous" passé, et j'en rajoute en lui demandant si il arrivait que cela lui manque ou que quand il y repense ça soit avec nostalgie.
Il me répond oui et me demande pourquoi cette question?
Et je lui répond le plus simplement du monde que j'avais eu, et toujours, du mal à conçevoir que quelqu'un qui me regardait comme tu le faisait, et comme tu le fait à certains moment où nous nous revoyons, qui s'occupe de moi, qui faisait attention à moi comme tu le faisait pouvais avoir tout arrêté du jours au lendemain alors qu'il n'y avait apparemment aucun nuage à l'horizon...

Et...

Je me suis réveillé... Allé faut que je me lève, j'ai cours...

Le rêve, comment dois-je l'interprêter ?
Un simple reflèt de mon désir d'avoir une véritable et longue discussion avec lui ? Comment puis-je en être sûr, il serait tellement plus simple qu'il ai rêver de la même chose et qu'il ait répondu sincèrement, mais d'un autre côté ce qui à été dit est, pour ne pas me voiler la face, ce que je voulait entendre...

L'inconscient, traître ! On ne veut pas s'avouer quelque chose, il revient sous une autre forme, ou était-ce un simple reflèt de mes désirs? Tant de mal à refouler tout cela, à le passer au second plan, oui je peux, je sais me détacher, en général, des choses qui peuvent m'affecter, ce n'est en rien de la prétention, mais avec le temps et ce que j'ai pu traverser qui était, à mon niveau, plus douloureux que cela, mais c'est justement ce qui m'a moins atteint, en tout cas au début, arrive à me faire trébucher et même douter de ma capacité a mettre certains évènements au second plan, pour m'en sortir...

Seul les cours comptent, je suis accroc au sport, shopping, musique...

Tant de choses superficielle, qui au final ne servent qu'à tenir, à ne pas allé voir plus loin, ne pas avoir le temps de réfléchir... Se concentrer, s'épuiser, ne penser qu'à ce qu'on va acheter, s'évader...
A quoi bon ?
Ce n'est pas inutile, mais pas suffisant non plus si seulement je n'avais pas a dormir, le soir quand on se couche, le rêve, là sont les moments où nous pouvons réfléchir, penser et aller plus profondément dans ses pensées.

Le temps... J'attendrai encore et je verrai après tout je suis patient...

Spart.

Les cours, Pas forcément un moment où l'on arrive à être attentif mais disons plutôt ... Rêveur, pensif, perdu dans des choses qui nous préoccupe ou simplement dans ... Rien.
Décrochage du cours de cette prof d'anglais complètement inintéressante, la tête se tourne alors vers l'extèrieur, ce lycée dont je suis fan, qui se voit gaché par ces travaux de rénovation, et puis ce temps. Malgré la pluie, le froid et le vent j'aime ce temps où nous ne sommes pas aveuglé par le soleil, et voir ces nuages, menaçant, dans le ciel m'a, en plus, toujours fasciné... Je me suis dit que cette vu étaient pas si mal pour une photo donc j'ai sorti mon nouveau jouet et puis j'en ai profité en me disant que cela pourrait être pour un article...

Regarder au travers d'un fenêtre un réflexe quasi naturelle qui montre que l'on
se perd dans ses pensées, que l'on pense à tous ce qui nous travaille, à la note que la prof va nous rendre qui n'est en réalité pas si importante vu que notre moyenne est trop basse pour être remontée et qu'au final ce n'est pas si important que cela puisqu'on ne peut appeler cette femme une prof... Puis ça continue, pressé d'être en philo, pressé qu'ensuite la journée se termine, le conseil de classe approche, le bac n'est que dans quelques mois et des doutes se font sur notre capacitée à l'avoir malgré notre avance grâce aux notes de français...
Que des détails assé futile aussi simplement pour cacher ce qui pourrait être plus ... dérangeant pour la "tranquillitée" d'esprit que l'on a, le regard perdu dans les nuages, à regarder la pluie tombé... Je voudrai être à Paris, assis sur le pont des arts à boire du thé, posé dans le jardin de Cluny La Sorbonne à écrire je ne sais quoi, flâner dans les rues et réfléchir tranquillement sans entendre cette femme, sans me dire que je ferai mieux d'écouter ce qu'elle dit puisque, une fois de plus, j'ai eu une sale note en anglais... Et puis retourner dans mes pensées sans me soucier d'elle car ce qu'elle dit n'a servi a rien...

Et en fin de compte, ce n'est pas si mal car seul, la tête dans les nuages, j'ai pu simplement profité de cette, au final, si agréable sensation qu'est de laissé aller son esprit et peut importe où il se rend...

Spart.

       Paris, ville de rêve... Si seulement elle n'était que cela en peu de mots comment est il possible d'exprimer ce que l'on peut ressentir pour Elle ?
Je vais essayé, non je vais le faire...

J'ai commencé à te connaître vers mes 16 ans cherchant un peu d'anonymat, et à m'évader un peu de chez moi j'ai commencé à te fréquenter...
Et puis, avec le temps je t'ai connu, découvert sous des angles que finalement peu de personnes savent t'aprécier, les cultures sombre et bien d'autres plus difficile à aperçevoir. Mais en réalité pourquoi?
A vrai dire je ne sais trop, c'est comme lorsque l'on est amoureux on ne se l'explique pas, tu m'a permis tant d'avancés, de réfléxion interminables, des pages d'écriture, de longues ballades sur les bord de ton fleuves, les couchés de soleil au travers de ta pyramide, tant de choses qui font qu'on ne s'explique pas le bonheur de se retrouver en ton sein, Ville d'amour, ville de rêve, de combats... On n'a aucun mal à reconnaître ton influence et ton attraction et aveugle serai la personne qui oserai de dédaigner...

Les deux seuls fois où j'ai pu être amoureux c'était dans tes murs, admirant ta beauté, la reconnaissant et bien sur j'ai fait en sorte d'en profité, au mieux...
Je rêve du premier soir où enfin j'habiterai cette ville, buvant du champagne sur le pont des arts admirant ton coeur, percé de sa flèche et brillant dans la nuit, mais j'espère encore plus profité de cet instant avec Lui... Si ce n'est cela alors je le ferai seul, et seul j'admirerai ta grandeur et ta beauté... Encore un peu de temps et il en sera ainsi, encore un peu de temps et j'y arriverai...
Paris qui dans le monde n'a jamais rêvé de cette ville, et moi j'ai la chance de vivre si proche de toi... Je t'aime aussi toi qui ne demande que d'être aimé...
Mais que puis-je voir en toi ?

Les cultures sombres, mon monde, celui ou j'aime tant me réfugier, profité de l'obscurité pour réfléchir, profité de la différence qui fait que je suis moi, que je suis unique dans ma souffrance comme dans les rares jois.
Le milieu gay, une autre partie de moi, pas toujours agréable, pas toujours plaisant mais ouvrant toutes les portes de la capitale, j'aime quand même ce milieu, qui est si exceptionnel à Paris, deux hommes peuvent marcher mains dans la mains, sans faire attention autour de soi et ainsi profiter tranquillement de la vie comme n'importe quel couple qui s'aime...
La Mode, Paris est la ville mode par excellence, plus besoin de le montrer le talent de tes créateurs est plus que reconnu et te fait rayonner sur un plan de plus ...
Le milieu étudiant, qui n'a jamais rêvé de faire ses études à paris ? La Sorbonne, Descartes, Pierre et Marie Curie, tes universités, tes lycées brilles désormais par leur nom et te rend encore plus attractive, qui n'a jamais pensé, "Il a fait ses études à Paris quel chance!"

Je pourrai continuer longtemps comme ça, mais juste pour montrer ou peut être simplement pour faire comprendre pourquoi, ou comment j'aime Paris...

Comprendre peut-être est là le problème pour que je puisse, si je le veux vraiment surpasser tout cela... Mais après le problème reste le fond, oui tout le jeu de "l'être et du paraître" avec lequel j'ai tellement de plaisir à jouer ... Sauf avec toi...
Certaines choses ne peuvent pas changer pour le moment, pas près ? mais a ce moment là qui n'est pas près ? Un manque de réponses là est le problème, là se trouve la clé de ce qui me travail depuis quelques temps.
Comprendre comment tout a commencé dans sa tête, comment ces quatre mots ont pu sortir de sa bouche sans qu'il puisse, peut être, les comprendre lui même. Je ne parle pas de la surface des choses ce qui parait toujours simple mais en réalité et naturellement dans le fond ne l'est pas, ce qu'il faut c'est chercher, y réfléchire, oui je me prend la tête je l'ai toujours fait et ceci est, à mes yeux une excellente raison de redoubler d'efforts sur ce plan, pour une fois que cela arrivait ...
Certains passage sont dans la vie vraiment difficile, après le bonheur d'une révelation et d'une explosion de notre être, le paraître revient toujours à la charge guider par le plaire à autrui, les préjugés, le paraître...
Mais au final le être ou le paraître est il le plus important?

A m'écouter la plupart du temps on pourrai facilement penser au paraître, naturellement, et je le comprend mais ceci ne reste qu'un jeu et beaucoup plus complexe que ce que l'on peut penser dépassant le simple paraître devant les autres, mais aussi devant soit même. Utile pour cacher ce malêtre qui commence petit à petit à me ronger.

Besoin de réponses...

Une seul réponse pourrai répondre a tant de questions ... Le début comment le désordre est il né dans sa tête ?
Le temps, j'en suis persuader répondra à ses questions, et naturellement... aux miennes mais ce que je cherche en réalité est-ce à le récupèrer? à comprendre? ou plus simplement à réussire a dépasser tout ça ... mais pour le moment je ne le veux pas après, c'est mon choix et puis il y a toujours le paraître...

Si peu de temps et pourtant ... Il a su être lui-même et bizarrement c'était totalement réciproque, pas de jeu, toujours franc, j'avais parfois du mal à me rendre compte du fait que je ne jouais plus ... Ce qui est très reposant moi qui voyais jusqu'à ce moment le bonheur dans ma popularité, dans les endroits chic, dans ce rythme de vie très libertin... Un bonheur de surface dirons nous, Comment quelqu'un peut il nous changer ainsi ? Comme quoi, être amoureux peut faire des miracles...
Chose étonante il a continué, et continu toujours à le faire, bizarrement j'ai changer pour lui comme je ne l'aurai fait pour personne d'autre, mais pas changer pour lui plaire, juste changer pour parvenir à moins jouer sur le paraître et a me foutre de l'avis des autres en ce qui concerne des choses totalement futiles, style général, comportement, en réalité quelque chose qui ressemble de plus en plus à ...moi   
Et pourtant c'est sûrement lui qui doit être dans la plus forte période d'évolution, nouveau rythme de vie, notre relation qui l'a certainement changer, ou le change encore ...
Le bordel dans sa tête, ne plus savoir qui l'on est, ce que l'on veut, ce qu'on sera... Mais après tout quel importance? J'ai considèrer cette période de ma vie comme une chose, même si difficile, qui aide beaucoup à évoluer dans le sens positif et naturellement psychique du terme mais à vrai dire c'est loin d'être simple, savoir d'abord qui l'on est, puis plus tard mais ce qui est vraiment moins important, c'est que les autres sachent qui l'on est ... Passage difficile mais en réalité sans grande importance, ce qui compte c'est d'être bien en tant que soi pas comme les autres voudraient que l'on soit ou suivre, même inconsciemment, une route que l'on nous avait tracé à la base.

Un bon boulot, de l'argent, se marier, fonder une famille...

Comment peut on se restreindre à ce schémas si celui si ne nous concerne pas ? Après tous cela peut aussi être fait mais selon des règles disons plus ... moderne...
Je t'aime... Mais j'essaye d'être objectif, capacitée a se détacher des choses ? je ne sais pas et je ne voudrai pas m'en gratifier... Mais ce n'est pas faute d'essayer non ?

Je ne m'excuserai plus, je suis franc et après tant pis, j'assume qui je suis, ce que je pense, ce que je ressent, c'est Moi et on ne peut rien y faire... A part réussir à me faire évoluer.

Et désormais... Qu'il en soit ainsi.

Spart.