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Samedi suite à un après midi plutôt agréable en compagnie de la classe au palais de la découverte, puis au musée d'Orsay. J'ai quitté le groupe pour passer un week end à Paris le rêve !

Et puis ayant du temps à tuer je me suis balader sur les bord de Seine quel bonheur, enfin c'est une façon de parler, du Bach dans les oreilles je me suis diriger tranquillement et néanmoins mélancolique vers le pont des arts et je me suis accoudé à la barrière et suis resté là à laissé passé le temps...
La Seine sous les pieds, l'île de la cité en face et tant d'autre chose, cette absence qui me pèse, il en faut peu parfois pour tomber dans ses pensés à en oublier le vent glacial qui nous fouette le visage ...

Bach me fait tout ressortir, et sans en prendre immédiatement conscience mon cœur se lâche comme il ne l’avait fait depuis longtemps, abstient toi et supporte tel est mon principe actuel, et c’est dans ce principe que je m’étais promis de ne pas fléchir, mais comment ne pas réagir ainsi devant tant de beauté, en plus de cette tête qui est pleine à craquer, comment ai-je pu tenir toute cette semaine ? Bac blanc, du stresse inutile, lui qui fait le mort sans que je sache pourquoi…
Malgré cette offrande que je fait à ce précieux fleuve, je ne fait en aucun cas attention aux gens qui passent derrière moi, enfermé dans ma bulle je ne ressent plus rien, le regard au loin je me met à réfléchir, cette musique inspire et fait tellement mal à la fois, j’ai parfois du mal à me comprendre, sur le pont des arts, la nuit tombante et cette musique qui fait tout resurgir.

Peu à peu je perds espoir en lui, plus de nouvelles l’aurai-je fait fuir ? C’est vraie après tout même si l’on ne peut trouver le temps de voir quelqu’un il est impossible de nos jours de prétendre ne pas pouvoir donner de nouvelles non ? Mail, Chat, SMS, téléphone, courrier…
Pourquoi alors faire le mort ? Je ne comprend pas pourquoi cela me travaille autant, je me suis surpris a pensé à autre chose, à cette éventualité encore lointaine d’avoir quelqu’un d’autre, mais un problème est venu avec cette éventualité, oublier quelqu’un dans les bras d’un autre n’est pas une bonne solution, aussi je me suis aperçue dernièrement m’être forgé un idéal et n’attirant en général pas grand chose de bon sur ce plan je perds espoir de ne plus me sentire terriblement seul, moi l’éternel célibataire !
Il reste quelque chose de pire que quelqu’un dise tout simplement non à ce que l’on espère qui au final pourrai être libérateur, pire qu’un peut être ou un « pas pour le moment » qui me ferai attendre, c’est d’être et de rester en suspend, ne pas savoir, attendre sans plus trop d’espoir, Je finirai bien par m’en sortir …

Juste des nouvelles…

Spart.

Du Bach dans les oreilles.

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